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L'Adieu du Cavalier for voice and piano
Classical/Song • 1963 • Lyricist: Guillaume Apollinaire • Alternative Title: Hommage à Francis Poulenc
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L'Adieu du Cavalier for voice and piano
Title by uploader: Germaine Tailleferre - L'Adieu du Cavalier for voice and piano
Instrumentation |
Piano, Voice |
Scored for |
Solo, Accompanying piano |
Type of score |
Piano-vocal score |
Movement(s) |
1 to 1 from 1 |
Language |
French |
Difficulty |
Advanced |
Duration |
3'0 |
After Francis Poulenc's sudden death on January 30, 1963, the American Arts Patron and Soprano Alice Swanson Esty decided to organize a memorial concert in New York. In addition to the present work by Tailleferre, she commissioned Darius Milhaud, Henri Dutilleux, Sir Lennox Berkley, Ned Rorem and others to write songs for this memorial which took place in January 1964 at Carnegie Hall in New York. Tailleferre heard of Poulenc's death by a newpaper reporter who telephoned her to ask for a reaction. According to family members, she was horrified by the news and was very affected by the death of her old friend. This short, concise setting of a poem by Guillaume Apollinaire, a poet closely associated with Poulenc, is a direct expression of her feelings at the time and requires no explanation. Alice Esty's papers were given to the Edmund Muskie library at Bates College in Maine after her death. The manuscript located in that collection is the source for this present edition. _______________________________________________________________________________ Après la mort soudaine de Francis Poulenc le 30 janvier 1963, la soprano et mécène Alice Swanson Esty décide d'organiser un concert en hommage à Poulenc à New York. En plus de celle de Tailleferre, elle commande des oeuvres à Darius Milhaud, Henri Dutilleux, Sir Lennox Berkley, Ned Rorem et quelques autres pour ce concert qui aura lieu en janvier 1964 au Carnegie Hall à New York. Tailleferre fut informée de la disparition de Poulenc par un journaliste qui lui téléphona pour avoir sur les ondes une réaction « à chaud’» à cet événement. Selon les membres de sa famille, elle fut horrifiée par la brutalité de cette nouvelle et fut très affectée par la mort de son vieil ami. Cette mise-en-musique concise et sans fioriture d'un poème d'Apollinaire (dont l’esprit est très proche de celui de Poulenc) est une expression directe de ses sentiments à ce moment et ne demande aucune autre explication. Les archives d'Alice Esty ont été, à sa mort, léguées à la bibliothèque Edmund Muskie au Bates College Université du Maine . Le manuscrit de cette collection dédié à Alice Esty est la source de la présente et nouvelle édition.
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